Un avocat défendant un homme accusé de vol à l'étalage essaya cette défense créative :
"Mon client ayant innocemment introduit son bras à travers la fenêtre le ressortit avec quelques bijoux.
C'est son bras et point lui que l'on doit punir."
Avec un sourire, le juge lui répondit :
"Bien Maître, utilisant votre logique, je condamne le bras de l'accusé à une peine d'emprisonnement d'un an.
Il peut accompagner son bras en prison ou pas, à lui de choisir ..."
A ces mots, l'avocat, hilare, s'approche de son client, l'aide à décrocher son bras artificiel, le laisse sur la table et quitte le tribunal avec son client, libre...
(Envoyé par Stéphanie TRAN)
Dernière modification de cette page le Lundi 14 Janvier 2002